Tu es tant vêtue,
d'après L'instant dévêtu de Perle Bellas
Ton brasier mal me va,
Ta respiration enfin m'élève,
Relaxant de tous mes petits pas,
De Cali ou nous fourchions, ma vierge,
Je sue à m'épanouir,
Vers ton con en soupirs,
Dans ce pré, je m'immisce Adèle,
D'un humour infidèle,
De grande chose frémissent et vlan!
Moi, je te renverse le cou en humeur point feinte,
Confiant à la foi, aux structures et aux plaintes,
Je me complais à recouvrir la richesse qui me vaut,
Des larmes de tendre tristesse, d'humour de dévot,
Haïssons de confondre les cors aux corps plus délicieux,
Quand rapidement, je reviens dans la comble des dieux,
En ce printemps, de te voir belle, m'est ainsi revenu,
La chasteté y gagne à plus se désirer, quand je rentre, j'ai perdu !
Et aussitôt je rejette mes idées folles, encore ici, je m'évertue,
Pêle-mêle, si j'osais, elle perdrait ainsi toute sa vertu.